En voilà bien une question clivante en Franc-Maçonnerie, à la Grande Loge de France – comme dans nombre d’obédiences maçonniques : celle de la religion ou, plus précisément celle de Dieu.
Depuis les Constitutions d’Anderson de 1723, les discussions politiques ou religieuses sont interdites en loge.
C’est l’un des règles de base de toutes les obédiences régulières au monde.
La Franc-Maçonnerie s’est en effet créée après 200 ans de guerres de religions (guerres où politique et religion étaient savamment mêlées) pour que des hommes qui s’étaient combattus à mort puissent vivre ensemble, se parler et – même, pourquoi pas – s’aimer.
Il faut ajouter un élément supplémentaire : en pays protestant (essentiellement le Royaume-Uni et les Etats-Unis d’Amérique) les églises nationales, comme les grandes loges maçonniques ont été considérées comme des institutions de liberté et d’émancipation.
Au contraire, dans les pays latins, dès les 1ères excommunications de l’église catholique (la bulle In eminenti apostolatus specula de Clément XII publiée le 28 avril 1738 étant la première d’une longue série et l’on peut citer également l’encyclique Humanum Genus de Léon XIII du 20 avril 1884, ainsi que la déclaration de la Congrégation pour la doctrine de la foi du 26 novembre 1983 qui rappelle de manière solennelle l’incompatibilité d’appartenance à l’église catholique et à la franc-maçonnerie) est né un conflit qui va durer jusqu’à nos jours entre une grande partie de la Franc-Maçonnerie française et l’église catholique apostolique et romaine.
D’une lutte acharnée du 19ème siècle jusqu’au milieu du 20ème - alliant l’anticléricalisme le plus militant des maçons à l’antimaçonnisme le plus virulent des catholiques – jusqu’à nos jours où la lutte se fait à fleurets mouchetés, il y a eu tout de même une nette évolution.
Mais j’allais dire, il y a une sorte de parallélisme des formes : c’est une discussion entre « catholiques » et « athées » issus de catholique qui exclut de fait tous les autres : protestants, juifs, bouddhistes, indouiste, musulmans etc…
Dans les faits, en France, aujourd’hui, lorsqu’un franc-maçon vous dit qu’il est « adogmatique », qu’il est « pour la liberté de conscience » et qu’il met en avant « l’homme » et « la raison », il vous dit qu’il « n’est pas croyant », c’est-à-dire qu’il n’est pas membre de l’église catholique et qu’il ne croit pas en ses « dogmes » ou en ses règles.
Comme si le dogme ne se situait exclusivement que dans la religion !
Le combat a été tellement dur, violent, entre l’église catholique qui a longtemps soutenu les régimes les plus réactionnaires français et les francs-maçons qui ont été les soutiens indéfectibles de la République, qu’il en reste quelque chose aujourd’hui : la République est bien sécularisée, laïcisée, la religion étant reléguée dans « la sphère privée » un peu comme quelque chose de honteux.
Et il reste un fort substrat de ce combat dans le paysage maçonnique.
Pourtant des obédiences maçonniques et des rites maçonniques revendiquent de plus en plus clairement une dimension spirituelle, pour ne pas dire religieuse.
Combien de fois ai-je entendu dire « à la Grande Loge de France on ne croit pas en dieu, comme à la GLNF » ou encore « Nous ne sommes pas comme les réguliers de la GLNF, sous la coupe de l’église Catholique romaine ». En tout cas c’est toujours la GLNF qui en prend pour son grade !
Comme si à la Grande Loge de France il était interdit de croire en Dieu ! Comme si il n’y avait pas un nombre de frères croissant qui ont – par ailleurs – un engagement religieux ou spirituel.
Et surtout, ce qui peut prêter à sourire, c’est de mettre sur le même plan « régularité » et « église catholique » lorsqu’on sait que 99% des francs-maçons « réguliers et reconnus » du monde (au sens de la GLUA) sont de parfaits…. protestants, et donc, à ce titre, moins inféodés que quiconque à l’église de Rome !
Pour autant la Franc-Maçonnerie est-elle une religion ? Ou même un mouvement à caractère religieux ?
Mais certainement pas !
Jonathan Spence, Député Grand Maître (c’est-à-dire N°2) de la Grande Loge Unie d’Angleterre, dans son discours du 14 septembre 2011 cité par Roger Dachez dans son article « Régularité et reconnaissance : réflexions historiques sur une équivoque maçonnique » le dit clairement :
« Lorsque nous parlons de notre Pure et Ancienne Maçonnerie, nous devons être absolument clairs sur le fait que nous appartenons à une organisation laïque [secular], c’est-à-dire une organisation non-religieuse […] La Franc-Maçonnerie, comme nous le savons tous, n’est ni un substitut de religion ni une alternative à la religion. Elle ne s’occupe certainement pas de spiritualité et ne possède aucun sacrement ; […] L’Ordre cherche à encourager les hommes à être loyaux envers leur pays, à respecter la loi, à s’efforcer au meilleur comportement, à prendre en considération ses relations avec les autres et à se rendre toujours plus utiles à leurs frères en humanité, en d’autres termes, à poursuivre une vie morale ».
La position de Jonathan Spence, membre de la GLUA en 2011 correspond exactement à ce que note le rédacteur du procès-verbal du Convent de Lausanne de 1875, Convent qui a définit les principes et les règles du Rite Ecossais Ancien et Accepté, qui régissent aujourd’hui encore tant la Grande Loge de France (qui administre les grades symboliques du REAA) que le Suprême Conseil de France (qui administre les grades supérieurs au 3ème degré du REAA).
Voici ce que disent les minutes du Convent de Lausanne de 1875 :
« Aux hommes pour qui la religion est la consolation suprême, la Maçonnerie dit « Cultivez votre religion sans obstacle, suivez les inspirations de votre conscience » ; la franc-maçonnerie n’est pas une religion, elle n’a pas de culte ; aussi elle veut l’instruction laïque, sa doctrine est toute entière dans cette belle prescription : aime ton prochain ».
Source : « Le Grand Architecte de l’Univers et le Convent de Lausanne », mémoires de la Grande Loge. mémoire 1 – 2011, p.58.
Rappelons-nous le Manifeste élaboré lors de ce Convent de Lausanne de 1875 :
« La Franc-maçonnerie proclame, comme elle a proclamé dès son origine, l'existence d'un principe créateur, sous le nom de Grand Architecte de l'Univers.
Elle n'impose aucune limite à la recherche de la vérité, et c'est pour garantir à tous cette liberté qu'elle exige de tous la tolérance.
La Franc-Maçonnerie est donc ouverte aux hommes de toute nationalité, de toute race, de toute croyance.
Elle interdit dans les ateliers toute discussion politique et religieuse; elle accueille tout profane, quelles que soient ses opinions en politique et en religion, dont elle n'a pas à se préoccuper, pourvu qu'il soit libre et de bonnes mœurs.
La Franc-Maçonnerie a pour but de lutter contre l'ignorance sous toutes ses formes ; c'est une école mutuelle dont le programme se résume ainsi : obéir aux lois de son pays, vivre selon l'honneur, pratiquer la justice, aimer son semblable, travailler sans relâche au bonheur de l'humanité et poursuivre son émancipation progressive et pacifique.
Voilà ce que la Franc-Maçonnerie adopte et veut faire adopter à ceux qui ont le désir d'appartenir à la famille maçonnique ».
Ce manifeste est toujours en vigueur aujourd’hui.
Les principes ci-dessus énoncés sont rappelés explicitement lors de la cérémonie d’initiation d’un franc-maçon à la Grande Loge de France (rituel du 1er degré symbolique du REAA, page 40).
C’est pourquoi il convient, en toute logique, de les insérer dans la Constitution pour la rendre – enfin – conforme à la pratique séculaire de l’obédience.
La Franc-Maçonnerie n’est donc clairement pas une religion.
Pourtant, la Franc-Maçonnerie régulière et universelle travaille à la Gloire du Grand Architecte de l’Univers, être suprême et Principe créateur.
Voici quelques textes qui évoquent ce sujet :
° Les Basics principles de 1929 de la Grande Loge Unie d’Angleterre toujours en vigueur énoncent « que la croyance en le Grand Architecte de l'Univers et en Sa volonté révélée soient une condition essentielle de l'admission des membres ».
° Dans les Règles communes de reconnaissance des autres obédiences maçonniques affirmées en août 1938 par les trois Grandes Loges, d'Angleterre, d'Écosse et d'Irlande (règles acceptées par la Grande Loge Unie d'Angleterre le 7 septembre 1949) il est écrit :
« La première condition pour être admis, et être membre, de l'Ordre, est la croyance en un Être suprême. Ceci est essentiel et n'admet aucun compromis ».
° Dans la proposition faite en 1989 par le Board of General Purposed de la Grande Loge Unie d'Angleterre, non confirmée par la Grande Loge Unie elle-même, il est écrit:
« Les Francs-Maçons placés sous sa juridiction doivent croire en un Être suprême ».
Jean Verdun, alors Grand-Maître de la Grande Loge de France, en 1985 disait quant à lui : « Recevoir la Lumière à la Grande Loge de France, quelle que soit la Loge qui vous donne cette Lumière, c’est entrer dans une école de la transcendance ou, pour ceux que rebuterait ce terme de métaphysique, une école du dépassement de soi-même. La structure et l’orientation de la Grande Loge, modèle symbolique d’un Ordre maçonnique universel, doivent le faciliter aux loges ».
Le texte du Convent de Lausanne prônant « l'existence d'un principe créateur, sous le nom de Grand Architecte de l'Univers » dit fondamentalement la même chose.
De même, la Confédération Maçonnique de France – qui regroupe la Grande Loge de France, la Grande Loge de l’Alliance Maçonnique Française et la Grande Loge Indépendante de France - a exprimé, dans sa constitution sa règle et ses principes.
Cette règle tient en 7 points :
• L’invocation du Grand Architecte de l’Univers,
• La présence en Loge des Trois Grandes Lumières: le Volume de la Loi Sacrée exposé et ouvert avec l’Équerre et le Compas,
• La souveraineté exclusive sur les grades symboliques,
• L’indépendance vis-à-vis de toute structure maçonnique de hauts grades,
• La non-mixité dans les travaux rituels,
• L’interdiction de discussions politiques ou religieuses,
• Le caractère progressif et spirituel de la démarche maçonnique.
Cette règle est évidemment compatible avec la règle de la Franc-Maçonnerie Universelle.
Et la réponse, encore valable aujourd’hui et demain, était déjà donnée en 1985 par Henri Tort-Nouguès : « Il est beaucoup insisté dans nos loges sur la nécessité du rejet de tout dogme, de toute révélation. Cette exigence est parfaitement saine en soi et doit être en effet une des pierres d'angle de la philosophie de l'initié. Malheureusement elle a été trop souvent entendue comme impliquant seulement les dogmes religieux et plus spécialement judéo-chrétiens.
Je pense qu'il s'agit là d'une relique, d'un fossile de la paléontologie maçonnique. La liberté intérieure est elle aussi un refus, celui d'accepter n'importe quelle vérité révélée par d'autres hommes qui s'attribueront ensuite, eux-mêmes ou leurs disciples, le droit d'en vouloir tirer des règles impératives voire légales de conduites, d'organisations sociales, économiques, politiques susceptibles d'être imposées à leurs semblables. J'en dirais d'ailleurs autant pour toute théorie philosophique ou scientifique ».
Au-delà des mots (Dieu, Grand Architecte, Etre Suprême…) les réalités décrites ne sont-elles pas les mêmes ? Simplement explicitées différemment en terres catholiques ou en terres protestantes.
Roger Dachez raconte souvent, lors de ses conférences publiques, une histoire vraie qu’il a entendu d’un vénérable maître d’une loge (pratiquant le rite anglais de style Emulation) de la Grande Loge Unie d’Angleterre.
Ce Vénérable Maître, accompagné de ses deux surveillants, interroge un profane.
Ils lui posent les questions usuelles qui, habituellement ne posent pas de problème : Quel âge avez-vous ? Quel métier faites-vous ? Etes-vous marié ? Pratiquez-vous un sport ? Etes-vous plutôt Beatles ou plutôt Rolling Stones ? (ça c’est moi qui rajoute !), Croyez-vous en Dieu ?
Pendant 20 ans, à la question « croyez-vous en Dieu ? », tous les postulants ont spontanément et instantanément répondu : « oui ».
Ce jour-là, à la stupeur du Vénérable Maître, le postulant hésita et dit :
« Excuse me sir, but it depends on what you mean by God? » soit : « Excusez-moi Monsieur, mais cela dépend ce que vous entendez par Dieu ? ».
Et, évidemment pour un protestant, le Vénérable Maître anglais lui répondit : « No sir, it depends on what YOU mean by God? », soit : « Non monsieur, cela dépend de ce que VOUS entendez par Dieu ».
Alors, lui répondit le postulant, « je crois en Dieu ».
Ce n’est pas le Vénérable Maître et encore moins l’obédience – fut-elle la Grande Loge Unie d’Angleterre ! – qui va dire au frère ce qu’il entend par Dieu. Nous sommes en pays protestant.
Ce qu’il lui demande en fait c’est de savoir si il croit en quelque chose qui le dépasse, qui est plus grand que lui et que peut-être il ne peut même ni définir ni connaître de par sa nature humaine.
C’est cela que les anglais nomment « Dieu ».
La conception de Dieu est évidemment individuelle et particulière et sa relation avec Dieu est personnelle pour un protestant.
La Franc-Maçon anglais ou américain peut croire que le « Grand Architecte de l’Univers » ou « l’être Suprême » est Dieu – au sens d’une église chrétienne - le Big Bang, Shiva, Bouddha, Vishnou, le hasard ou autre chose. Cela ne regarde que lui et sa conscience. Ca ne regarde pas le Vénérable Maître ni sa loge ni l’obédience.
Mais là encore, la Grande Loge de France – paradoxalement pour ceux qui regardent ça de loin ou qui prennent les mots pour des idées, a exactement - et depuis toujours ! - la même position.
« La franc-maçonnerie écossaise, les francs-maçons de la Grande Loge de France, s'ils affirment et postulent l'existence d'un Principe créateur ou d'un Être, se refusent à définir, à déterminer son contenu, son essence, sa « quiddité », pour employer le langage de la scolastique.
La Grande Loge de France laisse le soin et la liberté de l'interpréter à la conscience de chaque maçon selon sa propre complexion, selon sa foi ou sa philosophie propre », écrivait avec justesse Henri Tort-Nouguès, passé Grand-Maître de la GLDF, dans un article de 1984 intitulé « Règles et principes de la Franc-Maçonnerie traditionnelle ».
Et Henri Tort-Nougues, poursuivait avec malice :
« Ici, on pourrait se souvenir de cette boutade de Raymond Ruyer, qui, dans une remarque pleine de sens, nous dit que la discussion entre l'athée et le théiste consiste, le plus souvent à se demander s'il faut continuer d'appeler Dieu «Dieu» ou lui donner un autre nom.
Et un ancien Grand Maître de la Grande Loge de France, notre Frère Antonio Coen, pouvait légitimement se demander « N'y a-t-il pas plusieurs manières d'être dogmatique? Affirmer l'existence de l'indémontrable ou nier cette existence ? N'en est-il pas de Dieu comme de tout idéal ? Qui prétend le nier l'affirme et qui prétend le concevoir l'a déjà perdu ». »
Alors il n’en sera peut-être jamais fini de la question de Dieu et de ses interprétations multiples…
Il convient simplement d’en avoir une vision mesurée et comparatiste. Les mots n’ont pas le même sens en terre catholique (même laïcisée) et en terre protestante.
Et l’on voit bien, lorsqu’on veut vraiment regarder la réalité des choses, que les concepts définis par les diverses grandes loges de la Franc-Maçonnerie régulière et de tradition (que ces grandes loges soient reconnues ou non par la Grande Loge Unie d’Angleterre, ce qui est un tout autre débat), sont quasiment identiques pour ne pas dire entièrement semblables.
Les mots peuvent différer et avoir une résonnance différente selon les pays : « Grand Architecte », « Principe Créateur », « Etre Suprême », « Dieu ».
En France, compte-tenu de notre histoire conflictuelle entre église catholique et franc-maçonnerie, il est encore trop difficile pour beaucoup de francs-maçons de la GLDF de dire qu’ils travaillent « à la gloire de Dieu ».
Ils préfèrent dire qu’ils travaillent « à la Gloire du GADLU ».
Pour un anglais ces deux expressions sont synonymes puisque chacun interprète le concept de « Dieu » comme il l’entend. Comme chaque frère de la GLDF interprète le « Grand Architecte de l’Univers » comme il l’entend.
Il faut juste dire aux uns et aux autres, des deux côtés du channel comme des deux côtés de l’Atlantique, que si les mots et les histoires diffèrent, la signification est identique. Reconnaissance ou pas, ce qui est très différent et secondaire.
Rappelons-nous que, selon le Guide des Maçons Ecossais de 1804 (qui est l’un des rituels princeps du Rite Ecossais Ancien et Accepté), le Vénérable Maître utilisait la formule suivante pour ouvrir les travaux de la loge :
« Au nom de Dieu et de Saint-Jean d'Écosse, la L.·. d'apprenti est ouverte. Il n'est plus permis à aucun frère de parler, ni de passer d'une colonne à l'autre sans en avoir obtenu la permission; de s'entretenir de questions politiques ou de controverse, sous les peines que commandent les statuts généraux de l'ordre ».
Et que, naturellement, les travaux du Convent de Lausanne de 1875, dont nous avons parlé plus haut et qui constitue le socle du REAA pour la Grande Loge de France, conclut ses travaux par la formule – traditionnelle - suivante :
« Au nom de Dieu, de Saint-Jean et des Suprêmes Conseils Confédérés, je ferme les travaux du Convent de Lausanne ».
Tout est dit. Et bien dit.
Jean-Laurent Turbet
° Pour aller plus loin :
° Rassembler ce qui est épars ? Chiche, par Boanergès, sur ce site.
° Interview de J-P Servel et conséquense de ses propos sur le PMF, sur ce site.
° GLDF : Alain Graesel s'exprime sur la prochaine tenue de Grande Loge du mois de décembre 2014, sur ce site.
° GLDF : Les frères vont se prononcer dans la sérénité en décembre, sur ce site.
° 1985 : Quand Jean Verdun parlait de Franc-Maçonnerie Universelle, de règle, d’Ordre, d’Initiation… , sur ce site.
° "La réalité maçonnique" de Jean Verdun, sur ce site.
° Réponse à "l'historien à eux", sur l'Ecosse et les anciens, sur ce site.
° CMF, nouvelle polémique de Roger Dachez. Réponses et perspectives, sur ce site.
° Vers la réunion de la famille du REAA en France. Décision majeure du SCPLF, sur ce site.
° Lettre de Jean-Luc Fauque, SGC du SCPLF, sur ce site.
° GLDF : Rendez-vous avec son histoire. CMF et fraternité universelle, sur ce site.
° La CMF répond à la déclaration de Berlin des 5 Grandes Loges européennes, sur ce site.
° La déclaration de Berlin du 24 juillet 2014, sur ce site.
° GLNF & CMF, déclaration choc des 5 GL d’europ., sur le site La Lumière de François Koch.
° Convent GLDF : Marc Henry réélu. Unité , sérénité et dynamisme, sur ce site.
° Poursuite de la CMF votée au Convent 2014 de la GLDF, sur ce site.
° GLDF 2014 : Un Convent de Liberté, sur ce site.
° Exclusif, la GLUA reconnaît de nouveau la GLNF, sur ce site.
° Exclusif : Alain Graesel défend la GLDF attaquée avant son Convent de juin 2014, sur ce site.
° Histoire maçonnique : Louis Trébuchet répond à Gérard Contremoulin, sur ce site.
° Visites vous avez dit visites, sur ce site.
° La Circulaire Générale N° 35 , sur ce site.
° GLIF, régularité, tradition et recherche de la reconnaissance internationale, sur ce site.
° RPMF : La Grande Loge de France a son destin en main après Vienne et Baltimore, sur ce site.
° GLTSO : Pourquoi nous quittons la Confédération, sur le site de La Lumière de François Koch.
° Baltimore 2014 : Extraits du rapport de la commission de reconnaissance, sur le site La Lumière de François Koch.
° Déclaration de Vienne, des 28 et 29 janvier 2014, sur le site La Lumière de François Koch.
° Avenir de la GLNF : Plusieurs articles dans Nice-Matin, sur ce site.
° CMF : La Grande Loge de France adopte à plus de 86% les statuts et règlements de la Confédération Maçonnique de France, sur ce site.
° Les règlements et statuts de la Confédération maçonnique de France, sur ce site.
° CMF : Les règlements et statuts sont signés, sur ce site.
° RPMF : Les 5 GL européennes accueillent la Confédération Maçonnique de France avec enthousiasme !, sur ce site.
° La ballade irlandaise des frères français, sur ce site.
° Le courrier des 5 GL européennes du 10 juillet 2013, sur ce site.
° RPMF : « Déclaration de Paris » du 3 juillet 2013. La CMF va de l’avant ! , sur ce site.
° Le texte de la « Déclaration de Paris » du 3 juillet 2013, sur ce site.
° Le traité fondateur de la Confédération Maçonnique de Franceet le protocole d’Intervisites, sur ce site.
° Convent 2013 historique de la Grande Loge de France. La Confédération Maçonnique de France créée, sur ce site.
° Première tenue « confédérale » à la Grande Loge de France, sur ce site.
° RPMF : Le prétexte LNF, sur ce site.
° RPMF : Le Pari Confédéral, sur ce site.
° RPMF : Des réponses aux rumeurs qui font peur ! , sur ce site.
° RPMF : Tenues communes pour les frères des cinq Obédiences Régulières françaises, sur ce site.
° RPMF : Conférence de presse de Marc Henry et des Grands-Maîtres des obédiences régulières françaises, sur ce site.
° Marc Henry (GLDF) : « La Confédération aura une direction à 5 têtes. »,sur le site La Lumière de François Koch.
° La Grande Loge Indépendante de France est consacrée, sur ce site.
° GLTSO : le Grand-Maître Jean Dubar parle de la recomposition du paysage maçonnique français, sur ce site.
° RPMF : La Confédération des Grandes Loges Traditionnelles Régulières est en marche, sur ce site.
° Déclaration des cinq Grandes Loges Françaises du 18 décembre 2012, sur ce site.
° Déclaration des cinq Grandes Loges Régulières du 12 septembre 2012, sur ce site.
° GLNF : Le texte de la GLUA qui enlève la reconnaissance (explications), sur ce site.
° GLNF : La reconnaissance anglaise, c’est fini, sur ce site.
° La Grande Loge de France confirme que les négociations sont engagées avec les 5 Grandes Loges européennes, sur ce site.
° La Grande Loge de France accepte d'ouvrir des discussion avec les 5 grandes loges régulières européennes, sur ce site.
° La Grande Loge de France en pleine forme et très convoitée avant son Convent, sur ce site.
° Après l'appel de Bâle des grandes loges réagissent, sur ce site.
° Le communiqué de Presse officiel de la Grande Loge de France, sur l'élection de Marc Henry, sur ce site.
° Marc Henry élu Grand-Maître de la Grande Loge de France, sur ce site.
° La GLDF répond officiellement aux 5 obédiences européennes, sur ce site.
° La déclaration de Bâle du 10 juin 2012, sur ce site.
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