Le tribunal de grande instance de Paris, saisi en référé, a débouté le CFCM qui l'avait saisi en demandant l'interdiction de parution de Charlie Hebdo pour «injure raciale et religieuse».
Le CFCM a été débouté pour vice de forme.
Maître Richard Malka, l'avocat de Charlie Hebdo, explique: «La censure préalable n'existe pas dans notre régime. Il n'est possible de poursuivre pour demander le retrait qu'après publication.»
Charlie est donc en kiosques dès aujourd'hui. Philippe Val a prévu un tirage un peu plus important que d'habitude : 160 000 exemplaires au lieu des 140 000 habituels seront mis en vente.
La Une de Charlie :
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