Léo Müffelmann, l’homme qui sauva l’honneur de la Franc-Maçonnerie allemande.

Publié par Jean-Laurent Turbet sur 19 Juillet 2024, 16:12pm

Catégories : #GLDF, #REAA, #Histoire, #WW2, #Nazisme, #Hitler, #Allemagne

La Franc-Maçonnerie est arrivée assez tôt en Allemagne.

La première loge maçonnique fondée sur territoire allemand l’a été à Hambourg le 6 décembre 1737, un peu plus de 20 ans après la création de la Grande Loge de Londres et de Westminster le 24 juin 1717.

La première loge créée à Berlin, capitale de la Prusse est ouverte le 13 septembre 1740 après l’accession au trône du Prince héritier Frédéric (1712 - 1786), devenu Frédéric II de Prusse (couronné le 31 mai 1740), dit Frédéric le Grand (en allemand : Friedrich der Große), qui sera l’idole (bien malgré lui…) d’Adolf Hitler. Hitler ne pouvait méconnaître que Frédéric fût maçon, mais il fît semblant de ne pas s’en souvenir…

Le 24 Juin 1744 elle prend le titre de Grande Mère-Loge Nationale « Aux trois Globes », (Große National Mutterloge zu den drei Weltkugeln).

Les statuts de la loge de Hambourg sont rédigés en langue française, qui est la langue diplomatique de l’Europe (et celle des Huguenots français arrivés en masse à Berlin après la Révocation de l’Edit de Nantes).

Les premières loges allemandes portent des noms français : par exemple « Aux trois épées », « Aux trois cygnes » ou « Aux trois aigles blancs »

Les rituels comme les planches tracées des travaux seront rédigés en français. Ce qui facilite le travail de nos historiens. Comme le disait Frédéric II : « Je ne parle allemand qu’à Dieu et à mon cheval ».

Mais comme protecteur de la franc-maçonnerie prussienne, Frédéric II ne s’adressera à ses loges qu’en français.

La Maçonnerie allemande est très éclatée, à l’image de l’Allemagne qui ne sera unifiée qu’en 1871 à Versailles après la défaite de Sedan.

Avant la Première Guerre Mondiale, les Grandes Loges allemandes avaient des relations fraternelles avec la Franc-Maçonnerie anglo-saxonne (conservatrice) mais pas avec la Franc-Maçonnerie française (jugée trop libérale).

Les relations furent rompues en 1914 pour cause de conflit mondial… et elles ne reprirent jamais officiellement. La Maçonnerie allemande va donc vivre en autarcie même si individuellement, au fil de leurs déplacements, des frères allemands venaient visiter des loges françaises.

Au début du 20^ème siècle la Franc-Maçonnerie allemande étaient numériquement importante (80 000 frères environ) et était divisée en deux groupes :

1) Les trois Grandes Loges « Vieilles prussiennes », (Altpreußische Großlogen).représentent 80% des 80 000 francs-Maçons allemands avant la Seconde Guerre Mondiale : La Grande Loge de Prusse, dite Royal York de l’amitié ; la Grande Loge Mère Nationale aux Trois Globes (Große National Mutterloge Zu den drei Weltkugeln) – la plus importante -, et la Grande Loge Nationale des Francs-Maçons allemands (Große Landesloge von Deutschland). Le Grand Maître de cette dernière va rencontrer Herman Goering en avril 1933.

2) Il y a aussi les Grandes Loges dites « Humanitaires » (Humanitäre Großlogen) : Grande Loge de Hambourg, Grande Loge Zur Sonne, (Bayreuth) Eklektischer Bund (Francfort) Grande Loge de Saxe, (Dresde) Zur Eintracht, (Darmstadt) Deutsche Bruderkette (Leipzig 1924).

Les loges vieilles prussiennes sont composées de frères qui politiquement sont très conservateurs et réactionnaires. Noblesse du Reich, hauts fonctionnaires, grands bourgeois et bourgeois, négociants, professeurs, étudiants...

N’oublions pas que l’Université est réservée aux fils des classes dirigeantes. En 1920 lors des élections pour les syndicats étudiants et les bureaux des élèves, 80% des élus sont « völkisch », c’est-à-dire populistes, d’extrême-droite, racistes, antisémites qui combattent les socialistes, les communistes les syndicalistes et en général tous les démocrates et les partisans de la jeune République de Weimar.

C’est dans ces milieux que son recrutés les francs-maçons allemands des loges vieilles prussiennes (et même « humanitaires »).

Les Loges Grandes Prussiennes sont réservées aux « élites sociales », c’est-à-dire aux éléments les plus réactionnaires et conservateurs, aux chrétiens (comprendre : interdites aux juifs) et si l’on y parle « affaires » (pour ne pas dire plus...) et tradition allemande (pour ne pas dire le racisme organisé), on n’y parle évidemment pas de religion (bien que fortement teintées de luthérianisme prussien on commence à apprécier dans les loges le néo paganisme nazi) ni de politique (parler politique = être de gauche).

Quand on est un maçon allemand de tradition on est pour la Société telle qu’elle est depuis toujours, on est pour le retour du Reich (et évidemment contre la République de Weimar), on est pour le culte du Chef (qui deviendra bientôt le Führerprinzip), on est pour l’Ordre et un Etat fort, on déteste les syndicalistes et la gauche (radicaux, socialistes et communistes, détestés indistinctement).

Les Grandes Loges « Humanitaires » sont également conservatrices mais ne réservent pas l’admission aux seuls chrétiens et sont opposées à l’hégémonie des loges prussiennes. A noter l’inexistence ou presque de la Franc-Maçonnerie en Bavière qui est catholique.

Ces grandes loges « Humanitaires » feront pourtant elles aussi allégeance au nazisme.

Dès avant 1933, dès le début des années 1930, les Grandes Loges prussiennes, nourries de doctrines völkisch se rapprochent du Parti National Socialiste des Travailleurs Allemands (NSDAP = Parti Nazi), dirigé par Adolf Hitler.

En avril 1932, avant même l’arrivée d’Hitler au pouvoir, le Grand Maître de la Grande Loge Nationale déclare qu’il ne voit pas le moindre inconvénient à ce que ses membres adhèrent au Parti national-socialiste. On verra même des Vénérables de loges présider les travaux en uniforme nazi !

En Avril 1934 la Grande Loge de Prusse écrit : « Nous servons fidèlement Adolf Hitler […] nous nous plaçons sur le terrain des idées nationales-socialistes ».

La Grande Loge de Bayreuth adopte le drapeau allemand à croix gammée qui devra figurer pendant les travaux de toutes les loges.

Des drapeaux à croix gammée décorent les murs des temples et les autels des serments.

Alain Berheim souligne : « Il ne fait pas de doute que la majorité des obédiences prussiennes a tenté de travailler et de s’associer avec le nazisme avant même l’arrivée d’Hitler au pouvoir. Elle salue son avènement en soulignant que les thèses du nazisme coïncidaient avec les principes qu’elle se glorifiait de défendre ».

A partir de la prise du pouvoir d’Hitler en janvier 1933, les Grandes Loges prussiennes font totalement allégeance au pouvoir nazi.

Peuplées de conservateurs réactionnaires et rétrogrades, de droite extrême et d’extrême-droite, racistes et antisémites, anti républicains et antidémocrates, les loges Vieilles Prussiennes (qui je le rappelle rassemblent 80% des maçons allemands) vont littéralement se jeter dans les bras d’Hitler et du nazisme.

Hjalmar Schacht (1877-1970) banquier du Reich puis ministre des Finances d’Adolf Hitler en est un bon représentant de ses maçons affairistes et nazis.

Charles Riandey, ancien Grand Secrétaire de la Grande Loge de France prétendait en 1942 que l’ambassadeur du Reich en France Otto Abetz (1903-1958) fréquentait la loge « Goethe » de la Grande Loge de France à Paris avant-guerre. Peut-on croire Riandey ? En ce domaine pourquoi pas ?

Malgré leur allégeance réelle au régime nazi, Hitler détestait les francs-maçons et toutes les Grandes Loges Maçonniques, Vieilles Prussiennes ou pas.

La Maçons allemands ont eu beau donner tous les gages possibles de leur fidélité et de leur allégeance au régime nazi (la plupart y croyaient d’ailleurs vraiment et étaient des nazis convaincus), dire et écrire qu’eux aussi étaient conservateurs, réactionnaires, racistes et antisémites et luttaient pour l’Ordre Nouveau Hitlérien, rien n’y fit.

Le 15 août 1935, par un décret de Göring et de Frick, ministre de l’Intérieur, c’est l’interdiction totale de la franc-maçonnerie en Allemagne. Les loges qui existaient encore sont dissoutes. Les maçons pourchassés. C’est la fin de la Franc-Maçonnerie allemande.

Notons que c’est une constante de l’extrême-droite au pouvoir, en Allemagne comme en France.

Le 13 août 1940, trois jours seulement après que Pétain a reçu les pleins pouvoirs, est publiée à sa demande la « Loi sur les sociétés secrètes » qui interdit la Franc-Maçonnerie en France et dans les Colonies. Avant même le statut des Juifs ! Comme le disait Pétain : « Un juif n’est jamais responsable de sa naissance, un franc-maçon l’est toujours de ses choix ».

La Franc-Maçonnerie allemande ne se remettra d’ailleurs jamais, même après la guerre, de cette tâche indélébile, de cette forfaiture au véritable idéal de la Franc-Maçonnerie.

Un homme pourtant va sauver l’honneur de la Franc-Maçonnerie en Allemagne et cet homme c’est Leo Müffelmann.

Leo Müffelmann et la Grande Loge Symbolique d’Allemagne

Quelques francs-maçons allemands pourtant issus des Grandes Loges Vieilles Prussiennes ne peuvent plus accepter la dérive autoritaire et réactionnaires de leurs obédiences et leur rapprochement avec l’extrême-droite et le régime hitlérien.

Ils vont donc créer une nouvelle obédience maçonnique, La Grande Loge Symbolique d’Allemagne (Symbolische Großloge von Deutschland, Hambourg).

L’âme de cette nouvelle obédience est Leo Müffelmann. (1881-1934).

Leo Müffelmann, fils du philologue, journaliste et franc-maçon Ludwig Müffelmann (1853-1927) et de son épouse Lina, née Stypmann (* 1858), passa son enfance et sa jeunesse à Rostock.

Il fréquente la Great City School de Rostock, y passe son Abitur à Pâques 1899, puis étudie le droit à Berlin, Munich et Rostock et obtient son diplôme universitaire le 15 février 1902 avec une enquête sur « Le problème du libre arbitre dans philosophie allemande moderne ». Il obtient son doctorat.

Son père était déjà un franc-maçon engagé et fut élu Grand Maître de la Grande Loge provinciale de Hambourg. Il initia son fils Leo en 1913 au sein de la loge "Humanitas" de Hambourg. Son frère Ronald Müffelmann était également franc-maçon.

Müffelmann participa à la Première Guerre mondiale en tant que capitaine. Après la fin de l'Empire, Müffelmann poursuit une activité commerciale et devient à la fin des années 1920 directeur général de l'Association des cadres supérieurs (Vela) à Berlin.

En 1928, alors qu'il participe au congrès international des francs-maçons à Belgrade, il échange un baiser fraternel avec le grand maître du GODF Arthur Groussier, ce qui est interprété comme une provocation par les francs-maçons nationalistes.

Les Grandes Loges allemandes l'excluent alors de la franc-maçonnerie allemande. Müffelmann rejoint ensuite la Loge "Travailliste" de la Grande Loge de Vienne (en Autriche) à vocation internationale. Il obtient le 33e degré du Rite Ecossais Ancien et Accepté en 1929

Leo Muffelmann qui avait pris des contacts avec des maçons français, notamment du Grand Orient de France, découvre la Grande Loge de France et le Rite Ecossais Ancien et Accepté à l’occasion de voyages en France.

La Grande Loge de France sera son modèle sur tous les plans : Sur le plan symbolique car, grâce aux travaux notamment d’Oswald Wirth, d’Albert Lantoine, de René Guénon et bien d’autres, elle a retrouvé l’authenticité d’une démarche initiatique et spirituelle traditionnelle et innovante. Comme sur le plan de l’action car la Grande Loge de France est très engagée dans la lutte contre le fascisme, le nazisme, l’extrême-droite et pour l’accueil des frères martyrisés, aussi bien dans la Russie stalinienne qu’en Italie Mussolinienne, en Allemagne nazie, en Espagne Franquiste ou au Portugal Salazariste. C’est une obédience de la défense des Libertés, des droits fondamentaux de l’Homme, de lutte contre l’oppression et pour la liberté de pensée. Elle est dirigée par des hommes politiques de renom (Gustave Mesureur est en 1901 le 1^er Président du 1^er Parti Politique français, le parti Républicain, Radical et Radical Socialiste) ou des intellectuels engagés comme Michel Dumesnil de Gramont (homme de lettres, spécialiste des ouvrages en russe, il est l’équivalent du secrétaire général du CNRS actuellement).

Leo Muffelmann fréquente plusieurs loges de la Grande Loge de France lors de ses voyages à Paris. Notamment la loge « Goethe » N°379. Créée en 1906 pour promouvoir l’amitié franco-allemande elle est mise en sommeil en 1915 lors de la 1^ère Guerre Mondiale. Elle rallume ses feux en 1929 sous l’impulsion de son Vénérable Maître, Edouard Engel, citoyen belge que nous connaissons mieux sous son nom de plume Edouard E. Plantagenêt qui publiera trois volumes de ses « causeries initiatiques » pour les apprentis, les compagnons et les maîtres. Juif, Edouard Engel sera arrêté en 1943 et mourra en déportation la même année.

C’est bien en prenant modèle sur la Grande Loge de France que Leo Muffelmann crée sa nouvelle obédience.

Il faut bien le dire c’est cette obédience qui sauve l’honneur de la Franc-Maçonnerie allemande.

Elle allume ses feux le 27 juillet 1930 à Hambourg . Elle pratique bien évidemment le Rite Ecossais Ancien et Accepté qui fait ainsi son entrée en territoire allemand.

Elle naît conjointement avec le Suprême Conseil d’Allemagne de Rite Ecossais Ancien et Accepté (Deutscher Oberster Rat), créé avec l’aide des Suprêmes Conseils du Rite Ecossais Ancien et Accepté de France, d’Autriche, de Belgique et des Pays-Bas.

Elle est évidemment encore extrêmement proche de la Grande Loge de France.

Elle est créée avec seulement 200 frères en 1930 mais connaît un succès certain et compte 1200 membres et 26 loges en 1932.

Evidemment la Grande Loge Symbolique d’Allemagne n’est pas reconnue par les autres Grandes Loges allemandes.

En 1931 Mûffelmann déclare : « La véritable franc-maçonnerie sait bien aujourd’hui où se trouve son devoir. Le but de la véritable Franc-Maçonnerie est de lutter contre le bolchevisme, le fascisme, le national-socialisme… La lutte a commencé. Il y va de la défense de la culture occidentale. La rivalité entre la Franc-Maçonnerie et le catholicisme doit s’effacer pour laisser place aux grandes notions de Liberté et d’Humanité ».

Ce sont des propos très similaires qu’aura Albert Lantoine en France dans son livre « Lettre au Souverain Pontife » en 1937 . Lantoine, un disciple méconnu de Leo Müffelmann ?

En février 1932 il enfonce le clou : « Le nazisme est l’ennemi de la Franc-Maçonnerie. La Franc-Maçonnerie se tient, elle doit se tenir, prête au combat avec lui ».

En mars 1933, après l’arrivée d’Hitler au pouvoir et le début des persécutions, Leo Müffelmann décide de mettre en sommeil sa Grande Loge.

Le 5 septembre 1933, Müffelmann est arrêté par la Gestapo et, après avoir été interrogé, emmené au camp de concentration de Sonnenburg. Dans son journal, il écrit avoir subit environ 3 mois de détention préventive, de septembre à novembre 1933, en raison de son appartenance à la franc-maçonnerie.

On voit sur la photo ci-dessus datant de l'automne 1933 avec le groupe de Müffelmann dans le camp de concentration de Sonnenburg. Müffelmann est à l'extrême gauche. Le troisième en partant de la droite (debout) est le franc-maçon Carl von Ossietzky, lauréat du prix Nobel de la paix en 1935. À l'extrême droite se trouve le garde nazi.

Le 26 novembre il est relâché (gravement malade et avec des blessures permanentes) après l’intervention d’un dignitaire maçonnique américain, Henry Cowles et une intervention de l’Ambassade des Etats-Unis dont le régime nazi souhaitait – à cette époque – se garantir sinon l’amitié du moins une certaine neutralité.

Le 5 avril 1934 Leo Müffelmann se rend en Palestine (aujourd’hui Israël) pour installer la Grande Loge Symbolique d’Allemagne en exil à Jérusalem.

C'était la seule Grande Loge maçonnique allemande qui a pu continuer à exister après l'interdiction de la franc-maçonnerie à partir de 1935 en Allemagne.

Le 29 août 1934, Müffelmann succombe immédiatement après son retour sous les effets des dommages causés à sa santé par un autre emprisonnement dans un camp de concentration.

Cinq mois plus tard, de retour à Berlin, Leo Müffelmann meurt à 53 ans des suites des tortures qui lui avaient été infligées par la Gestapo. Il est mort en héros.

Il repose en paix au cimetière forestier de Stahnsdorf à Wilmersdorf.

Hommage à Leo Müffelmann, Gloire à Leo Müffelmann qui a incarné l’honneur de la Franc-Maçonnerie allemande sous le nazisme.

À la mémoire de Leo Müffelmann, l'atelier du "Devoir et de la loyauté de l'AASR Müffelmann" a été fondé à Münster (Westphalie) le 1er avril 1987 et la Loge maçonnique Müffelmann pour la fidélité (AFAM) a été fondée le 31 août 1996 les deux sous l'égide des Grandes Loges Unies d'Allemagne.

La Loge maçonnique de "Loyauté Müffelmann" n° 29, fondée à Tel-Aviv après la mort de Leo Müffelmann (maintenant sous la Grande Loge de l'État d'Israël), existe toujours aujourd'hui et fonctionne en allemand.

Toutes obédiences confondues il y a aujourd’hui de 15 000 à 20 000 frères en Allemagne : cela semble bien peu au regard des chiffres de 1925 (82000 membres) mais la maçonnerie allemande à longtemps peiné à se défaire de son image d’une maçonnerie d’extrême-droite proche des nazis.

Sur la vie de Müffelmann lire le livre de Karsten Oelckers "Grand maître Leo Müffelmann (1881-1934) : Luttes au sein de la franc-maçonnerie allemande dans les années 1923-1934. Un travail d'étude des sources" publié (en allemand) chez Salier Verlag, Leipzig, 2014, ISBN978-3-943539-30-1

Jean-Laurent Turbet

Vous retrouverez Leo Müffelmann dans le volume 11 de « L’épopée de la Franc-Maçonnerie » sous la direction de Didier Convard.

Ce volume 11 intitulé « Stalag 33 » (Scénaristes Didier Convard et Jean-Christophe Camus, Dessinateur Denis Falque, Cahier Jean-Laurent Turbet) sera disponible dans toutes les bonnes librairies le 2 octobre 2024.

Jean-Laurent Turbet

L'Épopée de la franc-maçonnerie - Tome 11

" La guerre que nous faisons se passe dans l'ombre "Berlin 1933. Pris dans le tumulte de la Seconde Guerre mondiale, les frères de la grande loge d'Orient courent un danger : Hitler ne cache pas sa

https://www.glenat.com/24x32-glenat-bd/lepopee-de-la-franc-maconnerie-tome-11-9782344036945

Edouard E. Plantagenet, écrivain maçonnique. - Le Blog des Spiritualités

De nombreux lecteurs (et de nombreuses lectrices) d'ouvrages maçonniques ont lu avec beaucoup d'intérêt les oeuvres d'Edouard E. Plantagenet. Je fais bien entendu partie de ceux là. Son oeuvre ...

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