Dans le cadre des "Rencontres de la Grande Loge Féminine de France" , il est organisé un colloque tout à fait important le samedi 9 novembre 2019.
Ce colloque a pour thème :
FEMMES EN PRISON : LA DOUBLE PEINE
Avec un plateau d'invitées exceptionnelles
INTRODUCTION par Marie-Aimée PEYRON, Bâtonnier de Paris
Delphine BOESEL, Présidente de l’Observatoire international des prisons
Juliette CHAPELLE, Avocate pénaliste, secrétaire de l’association A3D
Natacha CHETCUTI-OSOROVITZ, Sociologue, maître de conférences
Marie DEYTS, Directrice adjointe du centre pénitentiaire de Réau
Adeline HAZAN, Contrôleur général des lieux de privation de liberté
Marion LACHAISE, Artiste plasticienne
Clotilde LEPETIT et Héléna CHRISTIDIS, Avocates pénalistes
Zoë ROYAUX, Avocate pénaliste, membre de la Fondation des Femmes
Giorgia TISCINI, Maître de conférences en psychopathologie clinique
CONCLUSION par Marie Claude KERVELLA-BOUX, Grande Maîtresse de la Grande Loge Féminine de France.
Avec la participation du GENEPI
Avec la participation des Commissions de la Laïcité, des Droits des Femmes, de la Commission Ethique et Bioéthique
Il s'agit d'un colloque vraiment passionnant ! Réservez dès maintenant vos place.
Venez nombreux(ses).
Jean-Laurent Turbet
Renseignements pratiques :
Samedi 9 novembre 2019 de 14h30 à 18h
Maison du Barreau 2, rue de Harlay Paris 1er -
M° Saint-Michel - Pont Neuf - Cité Parking à proximité
Il s'agit d'un colloque public ouvert à toutes et à tous.
Inscription obligatoire : 9novembre@glff.org
Se munir d’une pièce d’identité et de la confirmation
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Attention ! Cet article, comme tous les articles du "Bloc-Notes de Jean-Laurent sur les Spiritualités", (http://www.jlturbet.net/) est écrit en mon nom personnel.
Je ne parle ni au nom d'une association, ni d'un parti, ni d'une loge, ni d'une obédience maçonnique.
Mes propos n'engagent que moi et non pas
l'une ou l'autre de ces associations.
Je ne suis en aucune façon habilité à écrire au nom d'une association, d'un parti, d'une loge, d'une obédience maçonnique. Tout ceci pour que cela soit bien clair, qu'il n'y ait aucune ambiguïté de quelque nature que ce soit.
Quelles que soient mes responsabilités - ou non - présentes ou futures dans une organisation, les propos tenus dans cet article comme dans tous les articles de ce Bloc-Notes, sont exclusivement des opinions personnelles qui n'engagent que moi.
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Je rappelle simplement que la liberté d’expression est en France un droit Constitutionnel, quelle que soit notre appartenance à une association de quelque nature que ce soit.
Dans son article 10, la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen pose que : « Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la Loi. »
Dans l'article 11, la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen pose aussi que : « La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'homme : tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi. »
Ces deux articles ont valeur constitutionnelle car le préambule de la Constitution de la Ve République renvoie à la Déclaration de 1789.
La Constitution et les Lois de la République Française s'appliquent sur l'ensemble du territoire national et s'imposent à tout règlement associatif particulier qui restreindrait cette liberté fondamentale et Constitutionnelle de quelque façon que ce soit.
Jean-Laurent Turbet
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