Communiqué de la Fédération Française de l’Ordre Maçonnique Mixte et International LE DROIT HUMAIN
JOURNEE INTERNATIONALE DES DROITS DE L’ENFANT
20 novembre 2014
Anniversaire de la Convention internationale des droits de l’enfant
Il y a 25 ans le 20 novembre 1989, la Convention internationale des Droits de l’Enfant était signée aux Nations Unies. 193 pays seulement (sur plus de 250 membres de l’ONU) l’ont ratifiée.
Ce texte fondateur reconnaît pour la première fois au niveau international l’enfant comme un sujet de plein droit : il établit le droit des enfants à être protégés, éduqués et soignés mais ce droit est encore très loin d’entrer dans la réalité. Partout dans le monde, des enfants sont enrôlés de force dans des unités ou groupes armés, sont privés de leur droit à l’éducation et victimes de toutes sortes de violence.
Permettre aux enfants de jouer, de penser, de s’exprimer devrait constituer un devoir pour les adultes de tous les pays. La réalité observable dont les médias rendent compte quotidiennement indique l’ampleur de la tâche à accomplir pour parvenir à donner le statut de « personne singulière » aux enfants. Si les pays qui progressent demeurent trop peu nombreux, ceux qui au contraire continuent d’ignorer cette convention comme ceux qui ont oublié qu’ils l’ont ratifiée ne peuvent que nourrir l’inquiétude des lendemains. Ces enfants auxquels nous devons être attentifs seront ceux qui gouverneront le monde demain.
Les fondatrices de notre Ordre LE DROIT HUMAIN, Maria Deraismes et Marie Béquet de Vienne, convaincues de la nécessité de la protection et de l’éducation des enfants, furent en leur temps les porte-parole déterminées d’une législation assurant les droits des enfants. Aujourd’hui les Francs-Maçons de la Fédération française du DROIT HUMAIN poursuivent cette œuvre, persuadés que l’épanouissement physique, moral et intellectuel des enfants est indispensable au progrès de l’humanité.
A voir ! | Ordre Maçonnique Mixte International " LE DROIT HUMAIN "
Permettre aux enfants de jouer, de penser, de s'exprimer devrait constituer un devoir pour les adultes de tous les pays. La réalité observable dont les médias rendent compte quotidiennement indique
Le site de la Fédération Française du Droit Humain
La Convention internationale des droits de l'enfant
La mission de l'Unicef est de défendre les droits des enfants, d'aider à répondre à leurs besoins essentiels et de leur donner davantage d'opportunités de s'épanouir pleinement. À cette fin ...
Sur le site de l'Unicef
Attention ! Cet article, comme tous les articles du "Bloc-Notes de Jean-Laurent sur les Spiritualités", (http://www.jlturbet.net/) est écrit en mon nom personnel.
Je ne parle ni au nom d'une association, ni d'un parti, ni d'une loge, ni d'une obédience maçonnique.
Mes propos n'engagent que moi et non pas l'une ou l'autre de ces associations.
Je ne suis en aucune façon habilité à écrire au nom d'une association, d'un parti, d'une loge, d'une obédience maçonnique. Tout ceci pour que cela soit bien clair, qu'il n'y ait aucune ambiguïté de quelque nature que ce soit.
Quelles que soient mes responsabilités - ou non - présentes ou futures dans une organisation, les propos tenus dans cet article comme dans tous les articles de ce Bloc-Notes, sont exclusivement des opinions personnelles qui n'engagent que moi.
Je rappelle simplement que la liberté d’expression est en France un droit Constitutionnel, quelle que soit notre appartenance à une association de quelque nature que ce soit.
Dans son article 10, la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen dispose que : « Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la Loi. »
Dans l'article 11, la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen dispose aussi que : « La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'homme : tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi. »
Ces deux articles ont valeur constitutionnelle car le préambule de la Constitution de la Ve République renvoie à la Déclaration de 1789.
La Constitution et les Lois de la République Française s'appliquent sur l'ensemble du territoire national et s'imposent à tout règlement associatif particulier qui restreindrait cette liberté fondamentale et Constitutionnelle de quelque façon que ce soit.
Jean-Laurent Turbet
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