La Grande Loge Féminine de France vient de nous faire parvenir le communiqué suivant :
"Lors du Convent annuel, les députées des 441 loges ont confirmé à une très large majorité (94,6%), Marie‐Thérèse Besson à la présidence de la Grande Loge Féminine de France.
Au cours de ces deux premières années d'exercice, la Grande maîtresse a permis le rayonnement de l’Obédience sur de nombreux territoires dans l’hexagone et hors de l’hexagone notamment à l’occasion de conférences publiques qui permettent de rencontrer des femmes et des hommes avec qui partager et expliquer les valeurs de la Franc‐Maçonnerie en général et de la Franc Maçonnerie féminine en particulier. C’était aussi l’occasion de renforcer les relations avec tous les membres de la Grande Loge Féminine de France quelle que soit leur situation géographique, ici ou ailleurs.
Il convient de rappeler que la Grande Loge Féminine de France a fêté ses 70 ans, qu’elle a été fondée par quelques dizaines de femmes novatrices, et qu’elle est forte aujourd'hui de plus de 14.000 membres au sein de Loges en France et à l'étranger.
Durant sa troisième année de mandat, la Grande Maîtresse aura la joie de contribuer à la naissance de deux obédiences féminines, libres et indépendantes : la Grande loge Féminine du Cameroun qui sera la première obédience féminine africaine et la Grande Loge Féminine de Bulgarie. La Grande loge Féminine de France aura également la joie d'accueillir en son sein, 9 nouvelles loges dont une à Saint-Pétersbourg.
Présidente d'un ordre initiatique, la grande maîtresse continuera parallèlement à œuvrer en faveur des droits des femmes, de la laïcité et veillera à permettre à celles qui rejoignent la Grande Loge Féminine de France de mettre leurs actes en harmonie avec les valeurs de tolérance et de liberté que défend l’obédience.
Marie‐Thérèse Besson, 68 ans, Franc‐Maçonne depuis l’âge de 30 ans, est originaire de la région lyonnaise. Elle a consacré sa vie professionnelle au domaine de la santé.
« Parce que nous sommes des initiées, parce que nous portons cette lumière reçue le jour de notre initiation, nous pourrons trouver les paroles et les actes qui nous permettront de rayonner. » a-telle précisé".
La Grande Loge Féminine de France
Association maçonnique féminine, indépendante, adogmatique, qui travaille à l'amélioration de la condition humaine.
Le site de la Grande Loge Féminine de France
Attention ! Cet article, comme tous les articles du "Bloc-Notes de Jean-Laurent sur les Spiritualités", (http://www.jlturbet.net/) est écrit en mon nom personnel.
Je ne parle ni au nom d'une association, ni d'un parti, ni d'une loge, ni d'une obédience maçonnique.
Mes propos n'engagent que moi et non pas
l'une ou l'autre de ces associations.
Je ne suis en aucune façon habilité à écrire au nom d'une association, d'un parti, d'une loge, d'une obédience maçonnique. Tout ceci pour que cela soit bien clair, qu'il n'y ait aucune ambiguïté de quelque nature que ce soit.
Quelles que soient mes responsabilités - ou non - présentes ou futures dans une organisation, les propos tenus dans cet article comme dans tous les articles de ce Bloc-Notes, sont exclusivement des opinions personnelles qui n'engagent que moi.
Je rappelle simplement que la liberté d’expression est en France un droit Constitutionnel, quelle que soit notre appartenance à une association de quelque nature que ce soit.
Dans son article 10, la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen pose que : « Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la Loi. »
Dans l'article 11, la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen pose aussi que : « La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'homme : tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi. »
Ces deux articles ont valeur constitutionnelle car le préambule de la Constitution de la Ve République renvoie à la Déclaration de 1789.
La Constitution et les Lois de la République Française s'appliquent sur l'ensemble du territoire national et s'imposent à tout règlement associatif particulier qui restreindrait cette liberté fondamentale et Constitutionnelle de quelque façon que ce soit.
Jean-Laurent Turbet
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