Le vendredi 27 Septembre à 20H à l’Athénée Municipal de Bordeaux, la Biennale invite maçons, maçonnes et profanes à une conférence axée sur l’histoire de la franc-maçonnerie.
Encouragés par le succès de mai 2012, les organisateurs de la Biennale Culturelle Maçonnique de Bordeaux continuent leur travail secondés efficacement par les représentants de la plupart des obédiences adogmatiques françaises.
Ainsi pas question d’attendre deux années sans rien faire. Dès septembre ils organisent un nouveau rendez-vous intitulé «Regards de jeunes chercheurs sur la franc-maçonnerie».
Sous la présidence de Cécile Révauger, professeur à l’UFR d’Anglais de l’Université Michel de Montaigne, quatre de ses étudiants viennent exposer leurs travaux. Marie-Anne Mersch parlera de La Franc-Maçonnerie féminine à l'époque des Lumières. Amanda Brown nous révélera ce qu’était, pour les Francs-Maçons, la notion de secret dans l'Angleterre du 20ème siècle. Simon Deschamps exposera le fait maçonnique et ses rapports avec le pouvoir colonial dans l'Inde britannique. Brinda Venkaya-Reichert expliquera ce qu’était la Franc-Maçonnerie à l'île Maurice au 19ème siècle qu’elle situera à la croisée des cultures coloniales française et britannique.
Des exposés suffisamment concis pour laisser la parole aux questions des auditeurs.
Une rencontre de très bon niveau qui permettra à tous d’en savoir plus sur des racines quelquefois injustement méconnues et toujours passionnantes à découvrir.
Pour retrouver les conférences de la Biennale de 2012, il suffit d’aller sur le site de l’Institut Maçonnique d’Aquitaine: http://imaq.fr les textes et les enregistrements audio des interventions vous y attendent.
Cette conférence publique est évidemment ouverte à toutes et à tous, francs-maçons ou non.
Conférence publique
Regards de jeunes chercheurs sur la franc-maçonnerie
Vendredi 27 septembre à 20h00 à l'Athénée à Bordeaux
Marie-Anne Mersch : "La Franc-Maçonnerie féminine à l’époque des Lumières"
Amanda Brown : "La franc-maçonnerie et la notion de secret dans l'Angleterre du XXème siècle"
Simon Deschamps : "Fait maçonnique et pouvoir colonial dans l'Inde britannique"
Brinda Venkaya Reichert : "La franc-maçonnerie à l’Ile Maurice au XIXe siècle : à la croisée des cultures coloniales française et britannique"
sous la présidence de Cécile REVAUGER, directrice de recherche, professeur d'université à l'Université Michel de Montaigne Bordeaux 3.
° Pour aller plus loin :
° Le site de l’Institut Maçonnique d’Aquitaine.
Attention ! Cet article, comme tous les articles du "Bloc-Notes de Jean-Laurent sur les Spiritualités", (http://www.jlturbet.net/) est écrit en mon nom personnel.
Je ne parle ni au nom d'une association, ni d'un parti, ni d'une loge, ni d'une obédience maçonnique.
Mes propos n'engagent que moi et non pas l'une ou l'autre de ces associations.
Je ne suis en aucune façon habilité à écrire au nom d'une association, d'un parti, d'une loge, d'une obédience maçonnique. Tout ceci pour que cela soit bien clair, qu'il n'y ait aucune ambiguïté de quelque nature que ce soit.
Quelles que soient mes responsabilités - ou non - présentes ou futures dans une organisation, les propos tenus dans cet article comme dans tous les articles de ce Bloc-Notes, sont exclusivement des opinions personnelles qui n'engagent que moi.
Je rappelle simplement que la liberté d’expression est en France un droit Constitutionnel, quelle que soit notre appartenance à une association de quelque nature que ce soit.
Dans son article 10, la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen dispose que : « Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la Loi. »
Dans l'article 11, la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen dispose aussi que : « La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'homme : tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi. »
Ces deux articles ont valeur constitutionnelle car le préambule de la Constitution de la Ve République renvoie à la Déclaration de 1789.
La Constitution et les Lois de la République Française s'appliquent sur l'ensemble du territoire national et s'imposent à tout règlement associatif particulier qui restreindrait cette liberté fondamentale et Constitutionnelle de quelque façon que ce soit.
Jean-Laurent Turbet
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