Le 22 septembre 2012, le
Grand Orient de France célébrait le 220ème anniversaire de la République autour d'un grand colloque.
Cette année, le vendredi 20 septembre 2013 à 19 heures, c'est une représentation théâtrale, autour d'une pièce d'André Benedetto, Thermidor Terminus, qui fournira la matière au débat sur l'actualité de la République.
Donnée au Festival d'Avignon l'été dernier, cette pièce, qui met en scène des personnages liés à la Révolution française, pose une multitude de questions dont la pertinence reste intacte aujourd'hui encore.
Après la représentation, des universitaires spécialistes de la période viendront éclairer un débat que le Grand Orient de France souhaite plus que jamais susciter et vivifier autour des principes
intemporels et universels qui sont ceux de la République.
Cette soirée exceptionnelle sera retransmise en direct sur GODF.TV
Pour vous connecter : www.godf.tv
Rendez-vous donc au Grand Temple du GODF le 20 septembre prochain.
(En résumé : Robespierre est incontestablement l’homme qui a joué le rôle le plus important lors de la Révolution et c’est à lui que l’on doit notre devise "Liberté, Égalité, Fraternité". Mais son œuvre est contestée, décriée, nombreux le dépeignent comme un tyran organisateur de la "Terreur". André Benedetto, en dramaturge engagé, a tenu à briser les fausses idées et mensonges qui pèsent sur le révolutionnaire en écrivant Thermidor Terminus, la mort de Robespierre. Une œuvre tout à la fois poétique et historique. Deux personnages occupent la scène, Duplay, ami proche de Robespierre, et Philippe Buonarotti, auteur du Manifeste des égaux. François Bourcier et Roland Timsit, tous deux comédiens et metteurs en scène, incarnent ces deux personnages et explorent ainsi un épisode peu connu de notre passé, qui interroge notre présent, notre système politique, nos espoirs...).
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Attention ! Cet article, comme tous les articles du "Bloc-Notes de Jean-Laurent sur les Spiritualités", (http://www.jlturbet.net/) est écrit en mon nom personnel.
Je ne parle ni au nom d'une association, ni d'un parti, ni d'une loge, ni d'une obédience maçonnique.
Mes propos n'engagent que moi et non pas l'une ou l'autre de ces associations.
Je ne suis en aucune façon habilité à écrire au nom d'une association, d'un parti, d'une loge, d'une obédience maçonnique. Tout ceci pour que cela soit bien clair, qu'il n'y ait aucune ambiguïté de quelque nature que ce soit.
Quelles que soient mes responsabilités - ou non - présentes ou futures dans une organisation, les propos tenus dans cet article comme dans tous les articles de ce Bloc-Notes, sont exclusivement des opinions personnelles qui n'engagent que moi.
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Je rappelle simplement que la liberté d’expression est en France un droit Constitutionnel, quelle que soit notre appartenance à une association de quelque nature que ce soit.
Dans son article 10, la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen dispose que : « Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la Loi. »
Dans l'article 11, la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen dispose aussi que : « La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'homme : tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi. »
Ces deux articles ont valeur constitutionnelle car le préambule de la Constitution de la Ve République renvoie à la Déclaration de 1789.
La Constitution et les Lois de la République Française s'appliquent sur l'ensemble du territoire national et s'imposent à tout règlement associatif particulier qui restreindrait cette liberté fondamentale et Constitutionnelle de quelque façon que ce soit.
Jean-Laurent Turbet
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