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Le Blog des Spiritualités

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La vraie fin de Jim Morrison selon Sam Bennett.

Publié par Jean-Laurent Turbet sur 23 Juillet 2007, 10:02am

Catégories : #Musique

Nous connaissons depuis 1971 la version "officielle" de la mort de Jim Morrison, donnée à la police par sa compagne Pamela Courson : Elle a affirmé qu'ils étaient allés tous les deux au cinéma puis s'étaient couché. Jim Morrison s'est réveillé dans la nuit en se sentant mal et a pris un bain chaud. Elle l'a retrouvé plus tard, mort, dans son bain.

Fin de l'histoire : this is the end, beautiful friend.....

 

 

Morrison-Jim.jpgSam Bernett est l'ancien gérant d'une boîte de nuit parisienne le Rock and Roll Circus, (qui porte en l'occurence bien son nom...).

Il affirme aujourd'hui dans un livre ("The End: Jim Morrison") que le chanteur charismatique des Doors est mort le 3 juillet 1971 dans les toilettes des hommes de son club, sans doute après une overdose d'héroïne.


Malgré les rumeurs qui ont circulé sur les circonstances de la mort du chanteur et en dépit des nombreuses sollicitations des journalistes, Bernett avait gardé son histoire secrète jusqu'à ce que sa femme lui donne l'idée d'écrire un livre.

"L'entourage de Jim Morrison, ses amis proches et sa fiancée Pamela Courson ont décidé d'une version dans laquelle il n'était pas question de drogue, d'alcool ou d'overdose. Je n'allais pas polémiquer par respect pour sa famille et son entourage", explique Bernett dans un entretien accordé à Reuters au Flore, un café de Saint-Germain-des-Prés parmi les préférés de Morrison.

Il a décidé d'écrire le livre pour que la vérité soit enfin connue. "Je voulais que la vérité soit dite une bonne fois pour toutes. Je n'ai fait que mettre noir sur blanc ce que des tas de gens savent. Je raconte des faits", souligne Bernett, qui a travaillé par le passé comme journaliste pour le New York Times.

Dans son livre intitulé "The End: Jim Morrison", Bernett raconte que la nuit de sa mort, Morrison est venu dans son club et a été rejoint par deux hommes qui lui ont vendu de l'héroïne. A un moment de la soirée, il s'est rendu compte que le chanteur n'était plus là.

Un videur a enfoncé la porte de l'une des toilettes qui était fermée et a découvert Morrison effondré sur le siège.

"Le flamboyant chanteur des Doors, le beau gosse californien est devenu une masse inerte effondrée dans les chiottes d'une boîte de nuit", raconte Bernett dans son livre, publié en français.

"Son visage est gris, les yeux fermés, il y a du sang sous son nez, et une bave blanchâtre comme de l'écume autour de la bouche légèrement ouverte et dans la barbe. Jim ne respire pas", poursuit-il. "Le médecin n'est pas dupe et parle d'overdose mortelle."

Bernett n'a pas vu Morrison prendre de l'héroïne cette nuit-là mais selon lui, les gens savaient qu'il préférait sniffer cette drogue parce qu'il avait peur des aiguilles.

Selon lui, les deux dealers ont prétendu qu'il était seulement inconscient et l'ont emmené hors du club. Il pense que Morrison a été ramené à son appartement et qu'on l'a plongé dans un bain pour tenter de le réanimer.

Bernett affirme qu'il a voulu appeler les secours au club mais son patron, qui craignait un scandale, lui a demandé de ne pas s'en mêler.

La version donnée par Bernett dans son livre contredit donc celle fournie par Pamela Courson à la police.

Morrison-Jim-grave2.jpgJim Morrison a été inhumé le 7 juillet 1971 au cimetière du Père Lachaise. Il n'y a pas eu d'autopsie. Pamela Courson est morte d'une overdose en 1974.

Sa tombe fait toujours l'objet de vénération, 36 ans après sa mort. De très nombreux visiteurs, notamment américains, viennent s'y recueillir. Elle est l'une des plus visitées du cimétière.

Peu après la mort du leader des Doors, Bernett a quitté le Rock and Roll Circus et a travaillé à la radio, écrit des biographies de stars du rock et occupé le poste de vice-président de Disneyland Paris.

Morrison s'était installé à Paris en mars 1971 avec Pamela Courson après avoir été reconnu coupable de comportement indécent pendant un concert des Doors en 1969, ce qui avait entraîné l'annulation de plusieurs concerts.

Il se baladait dans les rues de la capitale, en tenant à la main un sac en plastique contenant ses écrits et faisait la fête avec ses amis. Il avait pris tellement de poids qu'il était à peine reconnaissable.

"Il était en train de se suicider. Il était en tellement mauvais état que le médecin qui l'a vu pensait qu'il avait 57 ans", explique l'auteur qui n'était pas proche du chanteur mais le voyait souvent à son club.

"Pendant quatre mois, il venait tous les soir dans mon club (...) Avec moi il était très gentil mais je n'étais pas un proche. C'était quelqu'un de très difficile, d'auto-destructeur," explique-t-il.

Au Rock and Roll Circus, Morrison côtoyait toutes les célébrités de l'époque. La chanteuse Marianne Faithfull, le réalisateur Roman Polanski, le peintre Salvador Dali et même un petit-fils du général de Gaulle étaient des habitués du lieux.


Pour aller plus loin :

° Le site officiel de The Doors
° Tous les disques de The Doors sur Fnac.com.

Mossiron-Bennett.jpg°"The End, Jim Morrison"
Par Sam Bennet
Editions Privé 
juin 2007 
ISBN : 9782350760520 
commander-100x30-01.gifPrix public 18€, prix à partir de ce site 17,10 € (livraison gratuite et rapide).

 

Attention ! Cet article, comme tous les articles du "Bloc-Notes de Jean-Laurent sur les Spiritualités", (http://www.jlturbet.net/) est écrit en mon nom personnel.

Je ne parle ni au nom d'une association, ni d'un parti, ni d'une loge, ni d'une obédience maçonnique.

Mes propos n'engagent que moi et non pas l'une ou l'autre de ces associations.

Je ne suis en aucune façon habilité à écrire au nom d'une association, d'un parti, d'une loge, d'une obédience maçonniqueTout ceci pour que cela soit bien clair, qu'il n'y ait aucune ambiguïté de quelque nature que ce soit.

Quelles que soient mes responsabilités - ou non -  présentes ou futures dans une organisation, les propos tenus dans cet article comme dans tous les articles de ce Bloc-Notes, sont exclusivement des opinions personnelles qui n'engagent que moi.

Je rappelle simplement que la liberté d’expression est en France un droit Constitutionnel, quelle que soit notre appartenance à une association de quelque nature que ce soit.

Dans son article 10, la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen dispose que : « Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la Loi. »

Dans l'article 11, la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen dispose aussi que : « La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'homme : tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi. »

Ces deux articles ont valeur constitutionnelle car le préambule de la Constitution de la Ve République renvoie à la Déclaration de 1789.

La Constitution et les Lois de la République Française s'appliquent sur l'ensemble du territoire national et s'imposent à tout règlement associatif particulier qui restreindrait cette liberté fondamentale et Constitutionnelle de quelque façon que ce soit.

Jean-Laurent Turbet

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D
Tout cela est complètement bidon. John Mayal qui avait des relations fréquentes avec Morisson a dit et c'est consigné dans un procès verbal de 1972 que le chanteur commençait à souffrir du coeur et que son foie était en très mauvais après avoir fait un bilan complet à la demande de son manager à San Francisco. Morisson est mort moins de 5 mois après.
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D
MENTEUR , tu as fait chier PAUL FLANDRACK et dans ta vieillesse tu cherche encore la gloire avec <br /> tes histoires
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K
Cest ecrit quil avait une barbe..mais les derniere photo le montrant a paris le montre apres quil se sois raser la barbe. Quelque temps avant sa mort
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