C'est à juste raison que la Grande Loge Féminine de France, première obédience maçonnique du monde, se pose la question du bilan de la Loi Veil de 1975 et des perspectives pour les droits des femmes aujourd'hui, en France et en Europe.
A cet effet elle organise un grand Colloque le samedi 7 mars 2015.
La conclusion de ce colloque reviendra à Catherine Jeannin-Naltet, la Grand-Maîtresse de la Grande Loge Féminine de France.
Un colloque essentiel, évidemment à ne pas manquer !
Jean-Laurent Turbet
En voici le programme :
Accueil : Grande Loge Féminine de France
En ces temps difficiles, la Grande Loge Féminine de France vous souhaite une lumineuse année 2015 de partage et de travail. Les femmes franc-maçonnes de la Grande Loge Féminine de France ...
Le site de la Grande Loge Féminine de France
Attention ! Cet article, comme tous les articles du "Bloc-Notes de Jean-Laurent sur les Spiritualités", (http://www.jlturbet.net/) est écrit en mon nom personnel.
Je ne parle ni au nom d'une association, ni d'un parti, ni d'une loge, ni d'une obédience maçonnique.
Mes propos n'engagent que moi et non pas l'une ou l'autre de ces associations.
Je ne suis en aucune façon habilité à écrire au nom d'une association, d'un parti, d'une loge, d'une obédience maçonnique. Tout ceci pour que cela soit bien clair, qu'il n'y ait aucune ambiguïté de quelque nature que ce soit.
Quelles que soient mes responsabilités - ou non - présentes ou futures dans une organisation, les propos tenus dans cet article comme dans tous les articles de ce Bloc-Notes, sont exclusivement des opinions personnelles qui n'engagent que moi.
Je rappelle simplement que la liberté d’expression est en France un droit Constitutionnel, quelle que soit notre appartenance à une association de quelque nature que ce soit.
Dans son article 10, la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen dispose que : « Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la Loi. »
Dans l'article 11, la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen dispose aussi que : « La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'homme : tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi. »
Ces deux articles ont valeur constitutionnelle car le préambule de la Constitution de la Ve République renvoie à la Déclaration de 1789.
La Constitution et les Lois de la République Française s'appliquent sur l'ensemble du territoire national et s'imposent à tout règlement associatif particulier qui restreindrait cette liberté fondamentale et Constitutionnelle de quelque façon que ce soit.
Jean-Laurent Turbet
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